Twitter : le refus de rachat par Elon Musk a eu un impact sur le DOGE !
Le feuilleton de l’été est terminé (enfin non, puisqu’il pourrait se poursuivre devant les tribunaux), mais l’annonce par Elon Musk de son refus de racheter Twitter a fait chuter la célèbre cryptomonnaie à tête de chien de plus de 4% vendredi dernier. Une dégringolade qui ne s’est pas calmée au terme du week-end, le DOGE perdant 5.20% lundi après-midi, pour s’échanger à 0,04 dollar.
Ce n’est un secret pour personne, l’homme le plus riche du monde est un fervent défenseur du DOGE, et ses nombreuses déclarations ont souvent contribué à faire évoluer le cours du token, à la hausse comme à la baisse. Il avait également laissé entendre qu’une intégration potentielle du Dogecoin dans twitter était une possibilité, mais désormais tout cela appartient au passé. Les économistes n’excluent pas une class action contre lui de la part des détenteurs de DOGE, qui auraient pu se sentir lésés par les tergiversations du patron de Tesla.
Russie : le ministère des finances très favorable à la légalisation des stablecoins
Au cours de la Russian Creative Week, qui s’est déroulée du 7 au 10 juillet derniers, Ivan Chebeskov, chef du département de la politique financière du ministère des finances de la Fédération de Russie, a indiqué que sa hiérarchie n’aurait rien contre la circulation des stablecoins en Russie. Une déclaration qui a son importance, le pays, actuellement en guerre avec l’Ukraine, ayant un rapport contradictoire avec les cryptomonnaies, tantôt favorable, tantôt défavorable. Ivan Chebeskov a également souligné qu’il estimait tout à fait possible l’émergence d’un nouveau système financier basé sur les cryptos, même si on « ne peut pas être totalement sûr qu’il sera capable de fonctionner mieux que les systèmes financiers existants », a-t-il ajouté.
Monoprix se lance à son tour dans les NFT !
La marque de distribution française proposera, du 8 au 21 juillet, une vente physique de NFT dans trois de ses magasins parisiens (Champs-Élysées, Montparnasse et Beaugrenelle). C’est une première mondiale dans ce secteur et la preuve supplémentaire que les entreprises s’intéressent de plus en plus au tokens non fongibles. Conçus par la startup française Ownest, les NFT peuvent prendre la forme de peinture, de photographie ou de vidéo. L’opération, en partenariat avec RudeKidz, propose des images d’adolescents dans un style pop.
L’intérêt ? On ne sait pas encore lequel. Le tarif ? Lui oui on le connait : 240 euros ! A ce prix-là, outre le NFT bien sûr, il est possible d’accéder à une fiche imprimée représentant l’image de leur jeton, un T-shirt, un sac en toile siglés Rude Kidz, et un bon d’achat Monoprix de 20 euros.
Folie des NFT : même T’choupi s’y met
Le pingouin préféré des enfants cède lui aussi à la mode des tokens non fongibles. Pour fêter les 30 ans de création, Thierry Courtin, le papa de T’choupi, propose sur la plateforme Kalart une série de 2022 NFT issus des dessins originaux. Une offre qui ne s’adapte pas à toutes les bourses, puisque les 1992 NFT sont vendus au prix de 250€ l’unité. 30 NFT considérés comme le haut de gamme du pingouin sont vendus à 1000 euros.
« Thierry Courtin esquisse, à travers ce projet, l’aventure de T’choupi dans le metaverse, avec pour ambition d’inviter les heureux acquéreurs des NFT à y fêter l’anniversaire de T’choupi… si l’objectif des 2022 ventes est atteint ! » peut-on lire sur la page du site. Une citation pleine de clairvoyance peut-être ?
Une class action visant Solana déposée aux Etats-Unis
Mark Young, un investisseur de Solana vivant en Californie, a déposé une plainte contre les Solana Labs, l’accusant de déclarations trompeuses. Il estime ainsi que Solana Labs a fait des déclarations trompeuses par le passé tout en vendant des titres non enregistrés, ce qui s’apparente à une stratégie pour s’enrichir illégalement au détriment des investisseurs qui ont misé sur le SOL.
Rejoint dans sa plainte par d’autres utilisateurs de Solana, Mark Young pointe également du doigt la société d’investissement Multicoin Capital et son fondateur Kyle Samani : « Les défendeurs ont réalisé d’énormes bénéfices en vendant des titres Solana (SOL) à des investisseurs privés aux États-Unis. Cela enfreint les dispositions d’enregistrement des lois fédérales et des États sur les valeurs mobilières, et les investisseurs ont en outre subi d’énormes pertes. »
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